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L'ESSENTIEL - CD1 (CHAMPS) & CD2 (HORS CHAMPS) compilation

by H O L D E N

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    Compilation de 28 titres d'HOLDEN, dont 14 inédits
    Version digipack double cd + livret

    A COMPILATION OF 14 HOLDEN GREAT SONGS + 14 PREVIOUSLY UNRELEASED SONGS DIGIPACK 3 VOLETS + BOOKLET

    artwork : Christophe Portier
    P & C Marelle Music 2011

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1.
MADRID 04:09
Madrid Maquillée de strass Malaxée jusqu'au thorax Se prélassait depuis longtemps déjà Madrid Saupoudrée de sucre Tout le long des allées en stuc Se préparait sans trop savoir pourquoi Madrid Une souricière Une avenue sans marche arrière Un rendez vous où personne ne viendra Madrid Où sont tes icônes À la voix cassée ou aphone Où sont les anges qui dormaient sur les toits Deux filles Au rayon lumière Devant un mur de réverbère Se donnaient la main pour la première fois Deux filles Qui faisaient la paire Riaient si fort que la plus belle A bien failli mourir mourir de joie
2.
JE NE SUIS PLUS CELLE QUI S'ACCROCHAIT A VOS LEVRES JE NE SUIS PLUS L'ELEVE LA PLUS IMPOPULAIRE JE NE SUIS PLUS CELLE QUI VOUS FUYAIT DU REGARD JE NE FAIS PLUS VRAIMENT LE MEME GENRE DE CAUCHEMAR C'EST PLUS PAREIL DE QUELLE MANIERE ? JE CREVE DE NE PAS SAVOIR COMMENT J'ATTENDS MON HEURE LA OU AILLEURS COMME CEUX DONT J'AI OUBLIE LE NOM JE SUIS PLUS LA FILLE QUI PREFERAIT SE TAIRE JE NE SUIS PLUS L'ELEVE LA PLUS IMPOPULAIRE J'ACHETE DES BILLETS DE TRAIN POUR VOIR LA MER COMME UNE PARISIENNE A PEU PRES ORDINAIRE C'EST PLUS PAREIL DE QUELLE MANIERE ? JE CREVE DE NE PAS SAVOIR COMMENT J'ATTENDS MON HEURE LA OU AILLEURS COMME CEUX DONT J'AI OUBLIE LE NOM JE NE SUIS PLUS DANS L'OMBRE DES ARRIERE BOUTIQUES A DESSINER DES CERCLES PARFAITS SUR LES VITRES A RECOMPTER MES DOIGTS A L'INFINI J'AI PERDU LE GOUT DE CES CHOSES LA DEPUIS
3.
Un jour le bonheur vous sourit vous êtes comme moi le premier surpris une fraction de seconde on voit le bout de l'infini un jour le bonheur est à vos pieds un geste suffirait pour le ramasser mais quelque chose d'étrange vous pousse plutôt à shooter dedans ça prend des mois mais on l'aura à l'usure, au rabais les autres savent mieux que moi mais quand bien même j'attends, j'attends , j'attendrais un jour les dieux sont avec vous le lendemain ils n'y sont plus du tout et l'enfer qui s'annonce finira par vous mettre à genoux un jour ou l'autre on se compromet ne serait ce que par la pensée d'un futur bien tranquille bercé au son d'une cafetière électrique ça prend des mois ... un jour le bonheur vous trahit vous êtes comme moi le premier surpris une fraction de seconde il n'y a plus rien à l'infini
4.
J'ai bien le droit J'ai bien le droit, aussi De faillir, défaillir, Jusqu'à mesurer le prix Mais qu'est ce qu’il m'arrive ? Je ris aux larmes, je larmorie Mais qu'est ce qu’il m’arrive ? Je dors au bord de mon lit Oh oh oh comme je regrette Je ne suis pas ce que je suis Les murs ont des oreilles Les murs me parlent trop Oh oh oh comme je déteste Je ne suis pas ce que je suis La lune qui me surveille La lune est dans mon dos J'ai bien le droit J'ai bien le droit, aussi De railler, dérailler Epuiser toute mes envies Mais qu'est ce qu’il m’arrive ? J'oublie, je bois, je bois l'oubli Mais qu'est ce qu’il m’arrive ? Je dors au bord de mon lit Oh oh oh comme je regrette Je ne suis pas ce que je suis Les murs ont des oreilles Les murs me parlent trop J'ai, j'ai bien le droit J'ai bien le droit, aussi De conduire, d'éconduire Les hommes, au bout de la nuit Oh oh oh comme je regrette Je ne suis pas ce que je suis Les murs ont des oreilles Les murs me parlent trop
5.
LA MACHINE 02:51
En principe on commence en bas En grattant comme un forçat En espérant qu′un jour la machine s'arrête Je transpire et je marche au pas J′entends des cris derrière moi Il faudra bien qu'un jour la machine s'arrête J′en ai bien soupé J′ai perdu ma fierté J'ai tout donné Pour suivre ceux qui me devancent J′en sais pas plus que toi J'y crois pas plus que ça Mais rien n′y fait, rien ne pertube la cadence J'ai appris toutes les ficelles Tous les coups de manivelle Pour éviter qu′un jour la machine s'arrête Je n'me pose plus de questions J′ai pris des résolutions Pour éviter qu′un jour elle ne s'arrête Je m′occupe en expert De ses grands bras de fer Et ça me prend jusqu'à mes journées de vacances J′en sais pas plus que toi J'y crois pas plus que ça Mais rien n′y fait, rien ne perturbe la cadence Ça me met un coup au moral De voir ces gens qui se battent Pour obtenir qu'un jour la machine s'arrête J′en ai bien soupé J′ai perdu ma fierté J'ai tout donné Pour suivre ceux qui me devancent J′en sais pas plus que toi J'y crois pas plus que ça Mais rien n′y fait, rien ne perturbe la cadence On sait pas très bien où ça va Les espoirs de ce type-là Ça se met tout au fin fond de nos têtes
6.
Tu vois tu vois Le froid nous a changés Après une trop longue traversée On s'est laissé prendre et nous voilà dans la glace Bon an mal an on se réchauffait Avec des mots des mots qu'on se versait Sur notre peau pour que la douleur passe Qu'elle s'efface comme ce qui s'étiole et tombe à terre je lis sur les cernes mais je ne sais pas comment chaque feuille et chaque pierre jetée à la mer revient à moi tu vois tu vois le froid nous a chassés toujours plus loin vers l'obscurité dans des pays même pas sur la carte au hasard mais d'où qu'on soit c'est la même vue les mêmes bruits la même avenue et je ne sens pas plus le soleil
7.
TEL QUE TU ES J'EN FINIS PAS AVEC TES ECLATS DE RIRE MEME SI C'EST PAS SI DROLE PAS AUTANT QUE TU LE DIS DANS MON SOMMEIL JE TE COMPRENDS PAS TOUT LE TEMPS QU'IL ME FAUDRAIT POUR SAVOIR COMMENT JE SUIS SENSEE REAGIR VU D'OU JE SUIS C'EST PAS UN DRAME PAS UNE COMEDIE C'EST QUELQUE CHOSE ENTRE LES DEUX ET JE NE PEUX PAS CHOISIR ET QUAND IL ME VIENT L'ENVIE DE MONTRER DU POING C'EST COMME SI J'ETAIS VENUE POUR CES CHOSES LA TEL QUE TU ES JE TE COMPRENDS PAS AVEC TES COUPS DE GRIS T'ENGLOUTIRAIS LA TERRE D'UNE GORGEE DE LIQUIDE TEL QUE TU ES J'EN FINIS PAS AVEC UN PEU DE CHANCE ON IRA SUR LES QUAIS REGARDER LES TOURISTES
8.
SUR LE PAVÉ 03:23
C’était le temps Où je marchais sur les eaux Et tu me suivais à la trace Et ces montagnes Comme tu les déplaçais Juste pour m'amuser C’est moi qu'on abandonne Qu'on laisse sur le pavé Seule avec ma couronne Sur le pavé Dans la tourmente J’avais tellement besoin de toi Mais t'es pas venu une seule fois Alors comment Comment se prendre au jeu Quand on n'est pas pris au sérieux ? C’est moi qu'on abandonne Qu'on laisse sur le pavé Seule avec ma couronne Sur le pavé Est elle vraiment ratée Cette nouvelle épopée ? C’était si beau sur le papier Courage les amis ! Nous ne sommes que des humains Nous sommes des êtres incertains Rien que des êtres incertains
9.
MARGOT 04:46
CA NE MANQUE PAS CA NE BOUGE PAS DISPARAIT COMME UN CLAQUEMENT DE DOIGTS JE LUI AVAIS BIEN DIT DE SUIVRE LE COURS DES CHOSES DE MARCHER BIEN TRANQUILLE EN MARGE DES CONTRAINTES SOMMEILLANT S'IL LE FAUT POUR FEINTER L'AVENIR IL FALLAIT ETRE ICI AU MOMENT LE PLUS PROPICE LES MAINS DANS LE PRESENT LES YEUX PRES DE LUI BERCES PAR LES GRINCEMENTS DU SOLEIL METALLIQUE MAIS QUI VEILLE DEVANT LEUR LIT QUI LEUR FAIT MANQUER D'AIR TOUT AU LONG DE LA NUIT
10.
DÈS DEMAIN 06:03
Il y a des mondes et je regrette De n'en connaitre aucun Qui soit un peu plus éloigné du tien Que j'aimais bien Si je savais comment renaître Je partirais demain Si on arrive à se comprendre C’est déjà une phase Déjà quelque chose Même si c'est presque rien Presque rien Si je savais comment te plaire Je commencerais demain Je souris bien sûr moi aussi Aux anges de passage Qui apparaissent là où on ne pensait plus Voir quelqu’un Pour qu'au hasard des nuits lointaines Peut-être dès demain ...
11.
Combien de fois ai je dormi sous un toit étranger ? je ne compte plus le passé me glisse entre les doigts comme s'il n'était qu'une vague de petite marée devons nous devons nous payer de notre corps ? sommes nous, sommes nous, sommes nous des astres morts ? là dans le creux la brulure d'une larme - mais d'une seule main j'applaudis au cris de joie d'une parcelle de mon coeur qui me fait encore lever la nuit devons nous devons nous payer de notre corps ? sommes nous, sommes nous, sommes nous des astres morts ? je cache mes bleus dans ce flou de théatre je le sais le monde apparait et disparait laissant la trace d'un écho différé aux contours dessinés à la craie devons nous devons nous payer de notre corps ? sommes nous, sommes nous, sommes nous des astres morts ?
12.
Je te vois parfois dans la rue du haut de chez moi je savais bien qu'une fois éteint le feu ne laisse qu'une lueur tiède en un tour de main on s'habitue déjà au déclin il fallait bien qu'une fois éteint le feu ne laisse qu'une lueur tiède
13.
TUNIS 03:14
Je Me Suis Laissée Glisser Le Long d′une Lame Mon Corps Endormi Flottait Sur des Vagues Et Je Les Voyais De l'autre côté Du Quai Se Noyer Dans La Foule Une Chaleur d′été Soufflait Sur Mon Visage Antoine Me Parlait Mais Je Réagissais A Peine Et Je m'en Voulais De Tout Ce Que j'avais Fait Ces Dernières Semaines J′étais A Tunis Et Jy Suis Presque Restée Si Seulement On Me l′avait Demandé
14.
L'ESSENTIEL 05:22
Tes mots comme tes gestes Tes idées comme le reste Sont un art Qui ne me touche pas Tes cheveux ont peut-être La douceur que je cherche Mais tu vois Je ne les touche pas C’est ma bouche qui est sèche Oui c'est ça qui m'empêche De te dire Comment et pourquoi Sous le soleil de février Je ne vois rien venir Mais l'essentiel C’est le soleil Tes yeux ont peut être La lueur que je cherche Mais je crois Qu'ils ne me touchent pas Les sons que tu projettes Sont de moins en moins nets Ils ne viennent Même plus jusqu'à moi C’est ma bouche qui est sèche Oui c'est ça qui m'empêche De te dire Comment et pourquoi Sous le soleil de février Je ne vois rien venir Mais l'essentiel C’est le soleil
15.
LE MERINOS 03:37
Le Mérinos (Armelle Pioline / Mocke Home recording Le Mérinos ne peut pas Avancer plus vite ou quoi que ce soit Mais pourtant chaque fois La foule lui emboîte le pas Elle est comme ça C’est qu’il a l’air de bien s’amuser À voir le cortège se soulever Au plus petit doigt levé À la moindre consigne donnée On entre en transe On met nos vies en balance   Applaudissons maintenant Puisqu’on nous le demande si gentiment Le Mérinos acceptera Le liquide ou la carte visa Il est comme ça   Pas une voix pour lui demander Ce qu’on est venus acheter Une mobylette ou un landau Une casquette ou un maillot Ça dépend du stock Ça dépend du Mérinos   C’est qu’il a l’air d’avoir trouvé La formule pour nous faire marcher Au plus petit doigt levé À la moindre consigne donnée On entre en transe On met nos vies en balance   Le Mérinos ne peut pas Avancer plus vite ou quoi que ce soit Mais pourtant chaque fois La foule lui emboîte le pas Elle est comme ça
16.
1001 FEMMES 03:57
17.
18.
MIKE HARVEY 02:09
19.
20.
21.
LES CLOCHES 03:32
22.
23.
UN FANTÔME 03:06
24.
BOB 05:01
25.
26.
27.
ASTRO JET 01:34
28.

credits

released February 14, 2011

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all rights reserved

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about

H O L D E N Paris, France

Holden est un duo pop fondé à Dublin à la toute fin des années 90 par le guitariste Dominique Depret, alias Mocke, et la chanteuse Armelle Pioline.

À travers 6 albums pop impressionnants de liberté, le groupe s'est attaché pendant une quinzaine d'années, à chercher une poétique et un son unique dans le paysage hexagonal.
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